Et si ce qui faisait vraiment la différence dans une mission de Scrum Master n’était pas les rituels, mais les postures et les soft skills qu’on ne voit pas toujours ?
Le rôle de Scrum Master est souvent réduit à l’animation des cérémonies.
Mais en réalité, ce qui fait la différence dans une mission, ce sont les postures : la capacité à écouter, cadrer, recadrer, accompagner sans diriger, créer les conditions de la confiance, et faire émerger l’autonomie.
Fort de mes expériences sur le terrain, j’ai souhaité lancer cette série d’articles dédiée aux soft skills clés du Scrum Master : les dilemmes de posture, les petits ajustements du quotidien qui permettent aux équipes de grandir, et pas simplement d’“appliquer Scrum” ou l’Agilité à la lettre.
A qui s'adresse cette série?
Cette série s’adresse à tous ceux qui se reconnaissent dans le rôle de facilitateur du collectif :
Scrum Masters, Coachs Agile, Product Owners, managers de transition, ou simples passionnés du travail d’équipe en environnement complexe.
Quelques exemple d'articles à venir
Dans les prochaines semaines, je publierai une série d’articles, chacun centré sur une posture concrète, vécue sur le terrain :
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Coach ou Scrum Master ? Adapter sa posture sans se perdre
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Créer un climat de confiance durable dans une équipe
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Savoir dire non à un PO trop pressant sans bloquer la dynamique
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Gérer l’engagement non tenu sans tomber dans le contrôle
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Le quotidien invisible du Scrum Master opérationnel
Et à faire vivre ensemble ce rôle si subtil, et pourtant si stratégique, qu’est celui de Scrum Master.
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